WiKer, le réseau qui bouge ton coin
Modes d'emploi
Après vous avoir présenté les nouveaux animateurs locaux, nous faisons aujourd'hui le portrait de Lily Thomazeau, qui vient rejoindre l'équipe WiKer pour la communication.

WiKer : Peux-tu te présenter en quelques lignes ?

Lily : J'ai 22 ans et je suis étudiante en communication. J’ai intégré WiKer en tant que stagiaire pour ensuite poursuivre mes études à leurs côtés. Plus personnellement, j’aime le dessin, la chanson, l’écriture, la fête et les projets solidaires ! Assez solitaire, énergique et toujours optimiste, je suis pour le développement durable et un système local pour vivre quelque chose de plus « vrai ».

WiKer : Quel a été ton parcours avant d'intégrer WiKer ?

Lily : J’ai un parcours scolaire assez tumultueux. Après une réorientation d’un Bac général ES en Bac Pro Esthétique-Cosmétique/Parfumerie, je suis partie en Lozère pour commencer un BTS Communication Générale. Pourquoi ces changements de branches ? Au début, j’avais envie de travailler dans le maquillage événementiel puis après mon Bac Pro, pour des raisons financières et parce que j'ai eu un nouvel intérêt pour le marketing des parfums, j’ai filé en communication. Et, après un coup de cœur pour ce domaine et tout ce qui l’entoure, je continue en Bachelor Responsable Communication et Webmarketing en Septembre 2020 en alternance chez WiKer.
A côté de ça,  j’ai touché à pas mal de domaine en stage et en job étudiant : maquilleuse cabaret, barmaid, agent d’accueil, vendeuse/conseillère, babysitter, factrice, radio, commerciale …

WiKer : Quelle est ta mission au sein de la communauté WiKer ?

Lily : Je gère la communication globale (print et digitale) de WiKer et je suis animatrice de la plateforme de La Grigonnais et de Puceul.

WiKer : Pourquoi as-tu décidé d'intégrer WiKer ?

Lily : Après plusieurs mois de recherche d’un contrat d’apprentissage pour septembre 2020, je suis tombée sur l'annonce WiKer de recherche de stagiaire qui se prolonge en alternance. Je me suis toujours dis que je travaillerais pour une entreprise qui me correspondrait et qui collerait à mes valeurs. Fille d’un maraîcher BIO et d’une ancienne décoratrice d’intérieur, j’ai été éduquée dans le respect de l’environnement, les circuits courts et locaux, et vivre avec ce qui nous entoure. J’ai cette détermination à faire bouger les choses (bouge ton coin) et encourager les gens à vivre mieux plus simplement. WiKer répondait à toutes ces attentes et j’ai eu un coup de cœur professionnel pour Dylan Deshayes (fondateur) et Marina Le Clanche (assistante administrative) lors de mon entretien. En plus de correspondre à ma vision du monde, c’est une start-up hyper familiale, dans le respect, la simplicité et sans prise de tête. Je ne pouvais pas refuser cette opportunité et après un premier apéro avec toute l’équipe (ou presque), je me suis dit que j’ai fait le bon choix !

WiKer : Que souhaites tu apporter à Wiker ?

Lily : WiKer est un concept super innovant, complet et qui a de l’avenir. Alors, je voudrais y contribuer avec mes connaissances en communication et marketing, avec des idées nouvelles pour toucher plus de personnes. Ajouter mon originalité avec des vidéos et des events, augmenter leur notoriété et élargir leurs parts de marché. Étant la plus jeune de toute l’équipe, je pense que j’ai un rôle à jouer pour amener progressivement pas mal de solutions innovantes. Mais outre ces aspects professionnels, avec le temps je voudrais leur montrer mon énergie, ma positivité et mon esprit de pitre.

WiKer : Quelle est ta vision de la vie locale ?

Lily : Une vie locale est l’avenir d’un monde plus sain. D’après moi c’est le chemin à emprunter et à privilégier. Soutenir les petits commerçants et non les grosses entreprises qui ne pense pas au vivant permet, en plus de souvent mieux consommer et de moins polluer, de créer des liens sociaux en faisant de super rencontres, de découvrir des choses qu’on ne soupçonnait même pas dans notre commune. Cela permettrait de développer encore plus chaque commune et encouragerait chacun à réaliser ses rêves en ouvrant sa boutique ou son association, par exemple. Beaucoup parlent d’utopie, mais si chacun ouvrait juste les yeux et commençait à apprécier les choses plus simples, la vie locale se résumerait juste à un bonheur absolu.