De la seconde moitié du XIXe siècle jusqu’à la Première Guerre mondiale, la Bretagne connaît une émigration massive. Ce sont plusieurs centaines de milliers de Bretons – jeunes, en grande majorité – qui quittent des campagnes affaiblies
Ces migrations de travail ont pour horizons la capitale, principalement, la voisine Anjou et ses carrières d’ardoises, l’outre-Atlantique New-York qui attire les Bretons originaires de Gourin, mais également Le Havre, qui est « probablement après Paris, celle qui reçoit le plus de Bretons immigrés ».
Cette actualité est rédigée par
Notre histoire | Modes d'emploi |
Le réseau local | Pour les assos |
Notre équipe | Pour les pros |
Rejoins-nous | Pour les collectivité |
Deviens ambassadeur WiKer |
©2020 Wiker - Tous droits réservés - CGV - Mentions légales